Ne pas respecter les temps de récupération suffisant pour son corps, programmer de nouveaux efforts durant la phase de surcompensation favorable au dépassement et c’est le surentraînement assuré. Mais savez-vous reconnaître les symptômes d’un surentraînement ? Pour l’éviter, voici les points à surveiller !
Le surentraînement produit des effets néfastes sur notre corps et sur notre esprit. Ce syndrome est défini comme « une diminution du niveau de performance alors que le volume d’entraînement est maintenu ou augmenté avec une période de récupération identique ».
Zoom sur les symptômes du surentraînement
Vles principaux symptômes du surentraînement qui doivent vous alerter.
Au plan physique :
- baisse des performances lors des compétitions
- fautes techniques répétées
- diminution de la coordination
- baisse de vitesse
- fréquence cardiaque plus élevée au repos
- récupération plus lente
- douleurs musculaires
- douleurs tendineuses
- maux de tête et/ou sensation de vertige
- troubles du sommeil
- perte d’appétit ou boulimie
- digestion difficile
- sensibilité aux infections diverses
Au plan psychique :
- perte de confiance
- difficulté de concentration
- perte de motivation à l’entraînement
- trouble de l’humeur
- état dépressif
Il est capital de prendre soin de son corps pour améliorer ses performances. La difficulté réside donc dans une planification adaptée de l’entraînement qui permet des phases suffisantes de récupération. Il s’agit de parvenir à toucher du doigt la limite du surentraînement mais sans jamais la dépasser…
(support d’inspiration Agnès DUHAIL team outdoor)
Pour aller plus loin : « Comment favoriser le phénomène de surcompensation »